mercredi 17 octobre 2012

Petits Trous vierges à explorer (1982)


Film de montage élaboré par Alain Payet dont le montage, justement, varie suivant l'éditeur Vidéo.
Les Petits Trous Libertins chez Fil à Films (et à la station routière), Star Sex chez Réflex Vidéo (dans les magazine spécialisés dans la VPC de VHS).
Cette dernière édition, la plus complète et incluant les plans d'urolagnie reposait d'ailleurs, comme vous pouvez le voir, sur la notoriété de Catherine Ringer, qui est introduite ainsi, dans une scène qui foutrait presque le cafard :


Baudricourt, sors de cette bande !

mardi 16 octobre 2012

Caligula et Messaline (1981)


Dans la lignée de Les aventures sexuelles de Néron et Poppée, on pourrait même parler de Caligulaxploitation, puisque ces films surfent sur la vague du débordement de Tinto Brass.
Toujours est-il que nous retrouvons Caligula empêtré dans ses démêlés mêlant famille et animaux domestiques:



Et si l'érotisme de l'ensemble est plutôt généreux, le film reste assez pauvre, exploitant pas mal de stock-shots pour les scènes de foule et d'émeute. En fait, tout cela sent définitivement la production en série, rapport au film évoqué plus haut.
D'ailleurs, le montage allemand (20 minutes de plus) n'apporte pas grand-chose au DVD franco-espagnol malgré la présence de Piotr Stanislas qui, cette fois-ci, ne tient pas le rôle titre, et c'est bien dommage. Au lieu de cela, Vladimir Brajovic fait office de sous-Malcolm McDowell.
A noter cependant le passage de Salvatore Baccaro, acteur au physique improbable qui se faisait également appeler Boris Lugosi, et qu'on a pu voir bien plus poilu dans le stupéfiant Holocauste Nazi (Armes secrètes du III Reich).
Dans le film qui nous intéresse aujourd'hui, il est doublé par Henry Djanik qui fait également d'autres personnages. Voix célèbre s'il en est :



lundi 15 octobre 2012

Calmos (1975)




Pfff...il m'a fallu beaucoup de temps pour savoir quoi faire de celui-là. Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort, Claude Pieplu...bon sang quel gâchis.
Dans Calmos, Bertrand Blier nous compte son amour des femmes : ce sont toutes soit des emmerdeuses, empêcheuses de manger en rond et de regarder le match, soit d'épuisantes nymphos hystériques.
J'ai lu quelque-part que ce film était "de l'esprit d'Hara-Kiri"...erreur, l'équipe d'hara Kiri avait au moins le sens de la fête et de l'auto-dérision.
Pas du youpitude dans Calmos, juste de la bileuse connerie.
Je vais d'ailleurs en profiter pour ouvrir un nouveau tag "Connerie" et illustrer çà du seul passage récupérable du métrage, parfaite illustration du caractère de son réalisateur/scénariste.
Çà se passe au moment où les "hommes" prennent le maquis pour se prémunir de l'invasion des femmes. Vous reconnaîtrez Gérard Jugnot en beauf exemplaire.